Trio de Vins en Mémoire de Amichai Rubin | Casher

1. Vin Rouge : Un assemblage classique et puissant composé de 75% Cabernet Sauvignon, 20% Merlot et 5% Cabernet Franc, tous issus de la vendange 2022 (Otsar Beit Din). Les raisins ont été récoltés dans des parcelles spécialement sélectionnées pour cet assemblage. Le vin a subi une double maturation d’environ 16 mois en fûts de chêne français et américain, chaque cépage ayant vieilli séparément pendant huit mois, puis l’assemblage a vieilli pendant huit mois supplémentaires avant la mise en bouteille.
2. Vin Rosé : Composé de 49% Mourvèdre, 30% Grenache et 21% Syrah. Les raisins bénéficient d’une courte macération (environ deux heures) sur les peaux avant le pressurage. Ensuite, une fermentation à froid est effectuée. Chaque cépage fermente séparément jusqu’à la fin de la fermentation des sucres résiduels (rosé sec), puis l’assemblage est réalisé. Ce rosé présente une couleur rose-pêche légère, caractéristique des vins du sud de la France. Il offre une acidité équilibrée, une agréable fruité et des saveurs méditerranéennes uniques.
3. Vin Blanc : Un vin unique composé de six cépages blancs, tous issus de la vendange 2023 : Sauvignon Blanc, Viognier, Gewurztraminer, Chenin Blanc, Chardonnay et Roussanne. Les raisins ont été récoltés tôt, pressés et fermentés dans des cuves en acier inoxydable en tant qu’assemblage pendant 4 mois avant la mise en bouteille. Ce vin offre des arômes de pommes, de miel, de fruits tropicaux et de figues. Parfait pour accompagner les fruits de mer et la cuisine asiatique.

En mémoire de Amichai Rubin

Amichai est tombé lors d’une bataille héroïque, sauvant de nombreuses vies au MoP Sud le 10 octobre 2023 (25 Tishri). Amichai avait un bon cœur, était sensible à ses amis et faisait en sorte que tout le monde se sente bien. Son sourire lumineux était toujours présent sur son visage. Authentique, opiniâtre, têtu et dur. Un homme de vérité et de justice, mais toujours avec une grande humilité. Pendant ses années d’études à la yeshiva, il étudiait sérieusement et construisait sa stature spirituelle, rayonnant de joie et de vitalité. Il s’est engagé dans la brigade Golani, bataillon 51, où il était un soldat d’élite. Après sa mort, des écrits trouvés dans son carnet témoignaient de l’homme qu’était Amichai :
“Il faut de l’esprit, savoir dès la première seconde que peu importe ce qui se passe, nous allons gagner.”
“Une décision typiquement golanchik – mes amis passent avant tout.”